Maitresse Anais a déjà participé à de nombreux jeux à caractères sexuels, que ce soit avec des femmes ou des hommes, et parfois avec les deux. Au cours de ces séances, elle a constaté une grande différence entre le plaisir féminin et le plaisir masculin. Surtout, elle a remarqué que les femmes mettent un peu plus de temps à devenir matures sexuellement et brûler les étapes ne fera que retarder l’atteinte des objectifs souhaités. Cette situation s’explique d’abord par le fait que le clitoris est sollicité longtemps avant le vagin.
L’expérience du clitoris remonte à l’enfance
Suite à sa position externe, le clitoris est constamment sollicité, lors de la toilette intime, des sous-vêtements qui s’immiscent ou parfois par la jeune fille qui découvre très tôt qu’il peut constituer une source de plaisir. Ainsi, beaucoup ne se privent pas et pratiquent régulièrement la masturbation. Une fois que le corps se développe et que les seins grandissent, la stimulation simultanée de ces deux zones érogènes pourrait se renforcer. Alors, bien avant la pénétration, les femmes se sont déjà familiarisées avec une source de plaisir potentielle, ce qui n’est pas le cas du vagin.
Le plaisir vaginal reste à découvrir et requiert une certaine pratique
Les jeunes découvrent qu’elles ont aussi un vagin avec les menstruations, au moment de poser les tampons. Ainsi, l’organe est d’abord associé à une expérience loin d’être jouissive. Alors quand vient le moment de la pénétration, souvent c’est la douleur et la crispation qui prédominent. Pourtant, la culture actuelle insiste sur la notion de plaisir rapide et dès qu’elles ne parviennent pas rapidement à l’orgasme vaginal, certaines femmes sont rapidement cataloguées frigides et se sentent obligées de simuler pour satisfaire l’égo de leur partenaire. Ainsi, en vue de parvenir au plaisir, il est nécessaire de connaître son corps, découvrir comment faire pour que l’excitation atteigne des sommets et facilite le plaisir vaginal.